» J’avais eu beau me persuader du contraire, changer de vie, de nationalité, d’identité parfois, je restais Guillaume Berkeley, fils de la flamboyante et regrettée Virginia, frère du robuste Victor, aîné admiré et jalousé, mais à qui j’avais décidé d’accorder mon pardon. »
« Les fidélités successives , Nicolas d’Estienne d’Orves, roman, Albin Michel, août 2012, 718 pp.
Commentaires récents