« Je suis seul dans une bilbliothèque vide. Sur les étagères, je compte le nombre d’années qu’il me faudrait pour entasser en bouquins, ne serait-ce qu’une seule passion, même pas la lire ni l’écrire, non, juste l’entasser. Soudain, j’entends mon fils au jardin. il veut qu’on joue. Il crie. Non, il m’appelle. »
Et c’est le mot de la fin.
Les conquêtes véritables, Nicolas MARCHAL, Les Editions namuroises, coll. « Auteur à suivre », Namur, 3e tirage, mars 2009
Commentaires récents