Les cafés, acteurs de la vie littéraire

limpossible-exil-stefan-zweig-et-la-fin-du-monde-george-prochnik.jpgtheiere-design-eva-solo-1l-rouge-1.jpg » S’il y a une chose à laquelle Zweig n’a jamais pu s’adapter à New York, c’est l’absence de cafés. »

 

 

L’impossible exil- Stefan Zweig et la fin du monde,  Georges Prochnik, essai traduit de l’anglais (USA) par Cécile Dutheil de la Rochère, Ed. Grasset, sept.2016, 448 pp