« Par ce penchant à la mortification auquel porte parfois le dépit amoureux, Bibi l’écoutait, le conseillait, l’encourageait. Elle avait choisi de faire passion commune avec son aimé, acceptant de n’être pas l’objet de la sienne, jouissant presque en secret de la similitude de leurs flammes respectives. »

 Le meilleur des jours, Yassaman Montazami, roman, Ed. Sabine Wespieser,  août 2012, 138 pp, 15 €