« J’ai laissé mon enfance sur le chemin de la maison , où les pluies d’automne ruisselaient sur mes épaules, dans un grenier où je parlais aux ombres en regardant la photo de mes parents au temps où ils s’aimaient encore. »
Le voleur d’ombres, Marc Levy, roman, Robert Laffont, juin 2010, 276 pp, 21 €
Et rendez-vous mardi 29, même heure, même blog, pour la chronique de l’ouvrage…
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