» Jour après jour, Châtillon se coupait en deux, conformément à cette loi selon laquelle la propension d’un territoire à la division est d’autant plus grande que le territoire est petit. Le canton se disloquait, non pas selon un critère racial ou religieux, mais parce qu’un petit homme teigneux à l’allure napoléonienne avait décidé de suivre son instinct, entraînant une armée dans son sillage. »
Le village évanoui, Bernard Quiriny, roman, Ed. Flammarion, fév.2014, 218 pp, 17 €
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