« Peut-être chaque monde n’est-il que le reflet déformé de tous les autres, un miroir lointain dans lequel les ordures semblent briller comme du diamant, peut-être n’ya-t-il qu’un seul monde en dehors duquel il est impossible de fuir car les lignes de ses chemins illusoires se rejoignent toutes ici même, près du lit dans lequel agonise la jeune épouse de Marcel, une semaine après avoir mis au monde leur fils Jacques. »
« Le sermon sur la chute de Rome, Jérôme Ferrari, roman, Actes Sud, août 2012, 208 pp, 19€
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