« Elle porterait sur elle-même un regard maternel, elle ne l’ oublierait jamais cette fille sur sa bicyclette, et pourtant elle ne la mentionnerait ni n’en parlerait jamais à qui que ce soit.
Fille? Elle avait vingt-deux ans, de l’air dans sa jupe et un « bonnet hollandais » dans le vagin. »
Le dimanche des mères, Graham Swift, roman traduit de l’anglais par Marie-Odile Fortier-Masek, Ed Gallimard, janvier 2017, 144 pp
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