« J’avais donc aimé deux sortes de femmes. Les fragiles, comme Francine et maman, les sauvages, comme Maria et Simone. Simone fut mon grand amour, celui dont la blessure me marqua à jamais. Pour m’en guérir, j’avais quitté l’Algérie et ses longs étés. »
Le dernier été d’un jeune homme, Salim Bachi, roman, Ed. Flammarion, septembre 2013, 272 pp, 18 €
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