« Les premières semaines, parce qu’il avait conservé presque
intact le rythme de sa vie quotidienne, parce qu’il voyait tou-
jours Theodora Sur le territoire balisé de Son appartement,
et seul à seule, Attila avait eu la sensation d’être en sécurité,
de maîtriser la situation, comme un guetteur rassuré de pou-
voir embrasser tout l’horizon d’un regard. À aucun moment
il n’avait pensé que le danger, quel qu’il soit, pourrait venir
de l’intérieur – et pourtant, c’est ce qui arriva. »
Le dernier amour d’Attila Kiss, Julia Kerninon, roman Ed. Du Rouergue, janvier 2016, 126 Po
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