» Hector inspira profondément. Ses poumons s’emplirent avec délices de l’odeur des solvants. Une satisfaction élémentaire l’envahissait. Mais aussitôt il se ressaisit: un peu plus, il allait oublier Clara… Heureusement, sa peine n’était pas loin, elle fit volte-face et lui retourna un coup en plein thorax. Un instant dilatée, sa poitrine reprit la forme de bloc passé sous la presse qu’affichait son reflet sur la jaguar. »
Le bon coupable, Armel Job, roman, Ed. Robert Laffont, février 2012, 304 pp, 19,5 €.
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