» La peur des pauvres. C’était la maladie qui les tenait tous, les bourgeois, les aristocrates, les financiers. La hantise de ce grouillement informe qui enfantait des révolutions, des attentats, des épidémies de peste et de tuberculose, à la manière d’un monstre tentaculaire dont chaque tête fulminait de colère »
La part des flammes, Gaëlle Nohant, roman, Ed. Héloïse d’Ormesson, mars 2015, 496 pp
Commentaires récents