» Chaque fois qu’elle pensait à la duchesse d’Alençon – et elle pensait souvent à elle -, Violaine de Raezal se disait que s’il était un bonheur possible sur cette Terre, on ne pouvait y accéder qu’en laissant mourir certaines choses en soi. »
La part des flammes, Gaëlle Nohant, roman, Ed. Héloïse d’Ormesson, mars 2015, 496 pp
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