» Maria Cristina sait que, quel que soit le système d’évaluation de son interlocuteur, elle se situe dans la catégorie
des jolies femmes. Elle détient une sorte de beauté mobile, transitive. Elle a un grand don pour
le mimétisme et a appris à adopter l’allure et le rythme de ceux qu’elle admire ou de ceux qu’elle veut approcher (elle brigue cette négligence tranquille de fille bien née soluble dans n’importe quelle situation »
La grâce des brigands, Véronique Ovaldé, roman, août 2013, 288 pp, 19,5 €
NB: bientôt la chronique de ce gracieux ouvrage sur notre blog – Pour l’heure et sur notre blog, une semaine d’infusions de la rentrée littéraire
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