« Mon arrière grand-père est mort et la maison fatiguée s’est figée en icône de la famille. Le château est géré en indivision par ses cinq filles, certaines ont même emporté une aile. Les meubles ont été partagés, le piano à queue est parti, les Gymnopédies se sont tues. Personne ne trahit le cérémonial des vacances. Dix ans n’ont pas fêlé la chape consensuelle posée en équilibre sur les querelles d’héritage. »
La faute de goût, Caroline Lunoir, roman, Actes Sud – Un endroit où aller, août 2011, 114 pp.
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