» (…) l’Histoire m’a choisie, mastiquée, déchiquetée, recrachée survivant, et plutôt que de la fuir, de me soigner aux sentiments et aux passions intimes, je ne peux vivre sans elle, je la longe comme on suit un cours d’eau, par peur de me perdre. J’ai vécu, aimé et travaillé tout près d’elle. »
L’amour après, Marceline Loridan-Ivens, avec Judith Perrignon, récit, Ed. Grasset, janvier 2018, 160 pp
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