« Ces deux femmes de cinquante ans, brinquebalées par de pauvres haridelles autant que par la vie, avaient accepté, dans leur jeunesse, plus d’hommages qu’il était convenable d’en recevoir, mais elles se souvenaient d’avoir régné sur Paris sans partage, formant avec madame de Staël, dont la laideur brutale leur offrait un écrin, les Parques impitoyables du bel esprit. »
L’été des quatre rois, Camille Pascal, roman, Ed. Plon, août 2018, 666 pp