» La veille de son départ, au restaurant, le docteur Hassanein déclara que le Mahrajane méritait d’être classé monument historique. Louca, très flatté, alla de table en table pour citer ce propos. Il y voyait un précieux compliment, décerné par un client de poids. Mais, de la part du médecin, n’était-ce pas plutôt l’expression d’une inquiétude, le souci de préserver un monument en péril ? «
Hôtel Mahrajane, Robert Solé, roman, Ed. Seuil, oct. 2015, 264 pp
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