» Je rouvre le carnet. Je vais revenir sur mes pas, retourner à Nohant, revivre ces étés où nous étions une famille, savourer chaque détail jeté sur le papier, retrouver une mère encore heureuse, avec son « petit Chop », une mère adorée par ses amis, respectée par tous les Berrichons. Elle me fera oublier la femme obstinée dans ses refus, la compagne lasse, offensée, celle qui n’accordait pas son pardon. »
George Sand, Les carnets secrets d’une insoumise, Catherine Hermary-Vieille, fiction historique, Ed. XO, novembre 2014, 284 pp
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