Quoi de meilleur qu’une sublime tasse de ..café, pour notre « High Tea » de ce dimanche ..
» A l’oeil déjà, le café du maître clamait sa supériorité sur tout autre nectar. Ce qui baignait le fond des coupes, médaille oscillante à la bordure mousseuse, était de la nature des joyaux, des gemmes les plus rares. La couleur en était chaude, caramel ou noisette à bandes plus foncées. Il semblait qu’on eût, par quelque opération magique, réduit de l’écorce d’arbre à l’état de sirop«
Le Maître de café, Olivier Bleys, roman, Albin Michel, janvier 2013, 350 pp, 20 €
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