« Une ombre vit sur le visage de ceux qui ont perdu quelqu’un. L’ombre d’une plante grimpante. Elle croît à leur insu et, quand ils pensent que personne ne les surveille, elle baigne leurs traits d’absence, de gravité et de perplexité. C’est un démon discret qui habite leur visage. Il se cache dès que quelqu’un le regarde. »
Et mon coeur transparent, Véronique Ovaldé, Ed. de l’Olivier, 2008 (J’ai Lu, 2009, 6,7 €)). Prix France-Culture Télérama 2008.
Commentaires récents