« Peu à peu, je me retrouvais en terre familière, sans doute parce que d’anciennes images venaient se superposer à celles du présent, et qu’ainsi je marchais dans un monde palimpseste où il était agréable de se perdre, et nous nous sommes perdus. «
Chemins, Michèle Lesbre, roman, Ed. Sabine Wespieser , février 2015, 144 pp
Commentaires récents