…C’est que Véronique Ovaldé signe là un beau, un tout beau roman.
» Les vies se transforment en trajectoires. les oscillations, les hésitations, les choix contrariés, les déterminations familiales, le libre arbitre réduit comme peau de chagrin, les deux pas en avant trois pas en arrière sont tous gommés finalement pour ne laisser apparaître que le tracé d’une comète. C’est ainsi qu’Itxaga devint peu à peu ce qu’il est encore et que, de loin, on ne pouvait imaginer une autre vie que la sienne. » (p 227)
Ce que je sais de Vera Candida, Véronique Ovaldé, roman, Ed. de l’Olivier, sept.2009, 296 pp, 19 €
Commentaires récents