» Rien ne bouleversait davantage Olmène que ces faits de haine, de larmes et de sang entre les Lafleur et les Mésidor. Orvil, son père, les ravivait quelquefois comme s’ils avaient eu lieu la veille et non quarante années plus tôt. Pourtant, rien ne troubla autant dans cette aurore que le regard de seigneur et de voyou de Tertulien Mésidor. »
Bain de Lune, Yanick Lahens, roman, Ed. SabineWespieser, sept 2004, 274 pp
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