C’est par la musique que j’ai renoué avec mon identité algérienne, mon « algérianité », un mot qui semble déjà trop compliqué à prononcer. Avant mes études universitaires je n’avais aucun lien avec l’immigration algérienne.
La mélancolie du maknine, Seham Boutata, récit, Ed. Seuil, mars 2020, 198 pp