« Tous ces Russes croisés sur mon chemin m’auront à chaque fois décontenancé. Si le premier abord fut souvent froid, voire rigide, avec des commentaires tels que: « Tu es fou, c’est dangereux ce que tu fais, tu vas te perdre, on te voudra du mal, es-tu armé? « , in fine, je n’aurai rencontré que des sourires, des mains tendues et des portes ouvertes. C’est ce Chemin que j’aime, celui où l’empathie pour ma démarche met au grand jour la bonté des hommes. »
A pied, de Moscou à Compostelle, Werner van Zuylen, récit, Ed. Racine, oct. 2014, 200 p
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