A sa soeur Camille et son beau-frère Paul, l’écrivain Marcel Aymé (1902-1967) écrit le 20 janvier 1959:
J’espère que le monde se sauvera tout seul et que la Providence ne m’a pas élu pour une tâche aussi vaste
Je vous donne rendez-vous ce mardi 25 pour le compte rendu de lecture de l’adaptation – merveilleuse – de la correspondance de l’écrivain, prélude à la lecture Grain de voix, créée à Grignan, le jeudi 4 juillet prochain
Marcel Aymé, Pourfendeur du délit d’opinion, Agnès Akérib, Adaptation libre de la correspondance d’après Marcel Aymé, Lettres d’une vie, ©Les Belles Lettres – Paris (2013), Ed. Triartis, 29 juin 2019, 64 pp