« Je m’appelle Jean Verhelst. J’ai trente-six ans. Mon passe-temps favori est de prendre la route avec Nina et d’arpenter le pays en Volvo. Depuis quelques mois, je travaille pour une société qui propose aux gens d’effectuer à vélo des déplacements de proximité dans Bruxelles. C’est mon vieux pote Fredo qui m’a trouvé ce job, via un gars qui vient régulièrement se cuiter dans le bar où il bosse. »
Radioscopie d’une certaine belgitude, le roman de Marc Meganck nous propose un voyage à travers la Belgique, géographique, à bord de sa volvo 242, en compagnie de Nina, son ex-compagne, historique, via le témoignage de son oncle Alain, lequel rumine une « Belgique de Papa » à l’ombre cellulaire de la prison de Forrest.
AE
Une vie belge, Marc Meganck, roman, 180 ° éditions, oct. 2013, 320 pp
Cela vaut la peine? Vous ne donnez pas votre avis.
En effet. J’avoue que je n’ai pas accroché…alors, je décris l’argument, tout simplement
En lisant votre article, soit vous n’aviez pas aimé, soit vous n’aviez pas eu le temps de le lire. Mais on « sentait » que vous n’étiez pas enthousiaste…lol.