Relevé, révélé par François Busnel lors de la diffusion, ce mercredi 21 avril, de la Grande – et merveilleuse – Librairie , le recueil de notre compatriote est pur bonheur, bienfaisante gratitude.
Nous reviendrons sur le sujet.
Pour l’heure célébrons avec lui le printemps et le tapis de jacinthes sauvages qui traduit l« éveil printanier » du bois de Hal ( Belgique – Brabant flamand)
« Tandis que vous vous promenez dans ce bois de Hal magique, vous voyez pour la première fois à quel point le vieux Monet ressemble tout compte fait au jeune Jackson Pollock. (…)Vous ne vous en étiez aperçu auparavant. On dirait des mondes totalement distincts, celui de l’impressionnisme français de la fin du XIXe siècle et celui de l’expressionnisme abstrait d’après-guerre aux Etats-Unis Unis. (…), Pollock était un gars qui allait et venait autour de sa toile étalée par terre dans son avec un regard furieux, une Lucky Strike fumante et un pot de peinture dégoulinant. « |
Festival de la Foire du Livre de Bruxelles:
Une rencontre de haut vol entre Caroline Lamarche et David Van Reybrouck introduira le mariage festif entre francophonie et Flandre, le jeudi 6 mai à 12hh, directement issu du « Flirt flamand » du Festival de la Foire du Livre de Bruxelles.
Je vous invite à suivre la rencontre via le lien gracieusement mis à votre disposition par l’organisation ( www.flb.be) depuis la friche Josaphat, l’ancienne gare de triage de Schaerbeek-Josaphat.
Odes, David Van Reybrouck, traduites du néerlandais par Isabelle Rosselin , recueil, Ed. Actes Sud, mars 2021, 272 pp