Chers visiteurs, estimés festivaliers
Me voici tout frais ( – 20 ° tout de même) – revenue de Grignan et d’un Festival de la correspondance placé sous le thème des années ’50 et d’une température des plus ardentes …
La canicule n’ a cependant pas entamé … l’ardeur des fidèles, accros et d’un public neuf, ravi d’acclamer de standing ovations, les performances d’artistes qui ont donné à leurs prestations, le meilleur d’eux-mêmes
En lgine de mire: Olvia Ruiz ressuscita Françoise Sagan de façon tonique et magique, Emeline Bayart campa une Edith Piaf époustoufflante, Eric Elmosnino un Boris Vian des plus » Gainsbarisant »…
La lecture, par Olivier Broche et Jean-Claude Legay des lettres adressées à Raymond Queneau, éditeur chez Gallimard , par des candidats romanciers .. particuliers suscita bien des rires dans l’assemblée.
La résidence d’écrivain proposée à notre compatriote Geneviève Damas fédéra l’inspiration des participants aux rencontres du Colophon. En sortit , « Nos indépendances « un vrai bijou d’atmosphère et d’inventivité, lu à 9 voix, le samedi 6 juillet
Une expérience à recondure.
Ainsi que celle de l’atelier » Parfum de lectures » , menée en partenariat avec la société Durance, dans le cadre choisi d’un jardin aimablement prêté par Monsieur Georges- Arnoux Rieunier
J’en remercie les participants. Leur amène enthousiasme ont fait de ces moments choisis un vrai temps fort d’échanges et de convivialité.
Et vous propose une galerie-photos qui sera sous peu augmentée d’autres apports…
Nous reviendrons sur ces encontres en nos prochaines éditions
Votre Apolline Elter
Merci pour ce compte-rendu d’un Festival auquel nous regrettons de ne pas avoir pu assister.
Quelles belles rencontres chaque année !
J’aurais aimé assister à l’ Atelier Parfum de Lectures !!
Très bel atelier ! A ne pas manquer lors de la prochaine édition ! Pur moment d’échanges et de partages autour de la lecture et du parfum.
Merci, chère Delphine. Ce fut un riche et bien agréable moment. Je suis partante pour une nouvelle aventure, bien évidemment ! Chaleureusement, Apolline