Gérard de Cortanze est l’invité de notre déjeuner littéraire du jour – le dernier avant les vacances – qui se déroule dans les salons du prestigieux Cercle gaulois. J’aurai la joie de l’interviewer et de brosser, sous la fresque magistrale des amours torrides, de la passion-éclair qui lia Léon Trotski, le révolutionnaire en exil à l’artiste Frida Kahlo, le portrait d’une femme tout de fougue et de souffrances mêlées.
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« L’ «ami inconnu», Diego Rivera, avait une femme. C’était sa troisième épouse. Depuis leur mariage, en 1929 – Il avait alors quarante-deux ans et elle vingt-deux -, ils s’étaient séparés à plusieurs reprises puis remis ensemble. Du côté de Ia mère, la jeune femme avait du sang indien et espagnol ; du côté du père, du sang allemand mais aussi juif hongrois d’origine roumaine. Très belle, elle portait le costume national mexicain et arborait de somptueux bijoux, très voyants. Elle aimait le vin, le sexe, et jurait comme un charretier.
Les amants de Coyoacán, Gérard de Cortanze, roman, Ed. Albin Michel, mars 2015, 336 p
A podcaster, écouter, l’excellent entretien que l’écrivain accorde à notre confrère, Edmond Morrel, sur le site « espaces-livres » de Demandez le programme:
http://www.espace-livres.be/Les-amants-de-Coyoacan-de-Gerard?rtr=y
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