A l’agenda du jour, le communiqué d’un visiteur et éditeur que je relaie, auprès de nos visiteurs, intéressés par l’écriture:
Bonjour, Editeur belge exilé dans le Finistère depuis 2010, spécialisé dans le texte court et la révélation de nouveaux auteurs, je vais créer à partir de mai/juin 2012 une collection format poche intitulée CÔTÉ COURT. Vous pouvez trouver toutes les caractéristiques de cette collection en suivant ce lien : http://www.jacquesflament-editions.com/cote-court/
Très cordialement. JACQUES FLAMENT http://www.jacquesflament-editions.com/ »
Créée depuis décembre 2010, la toute jeune maison d’édition, se veut différente des maisons traditionnelles: elle propose un circuit de vente par Internet et une politique de petits tirages renouvelables. Vous trouverez de plus amples renseignements sur le site de l’éditeur.
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Mais aussi :
D’une chartreuse à l’autre
La cinquième conférence d’Arts et cloître aura lieu samedi 4 février 2012 de 16h30 à 18h au caveau de la chartreuse. Elle s’intitulera : « Cultiver la lumière et ouvrir l’espace du pardon : le reniement de Saint Pierre d’un élève du Caravage ».
Colette Nys-Mazure, nouvelliste, essayiste et poète de renom, écrit volontiers en correspondance avec des peintres, des musiciens. Elle a reçu le prix de poésie Max-Pol Fouchet en 1996 pour le For intérieur(Le dé bleu) Une révélation : c’est ainsi qu’elle reçut le reniement de St Pierre, œuvre d’un émule du Caravage, le Pensionnaire de Saraceni, conservé au musée de la chartreuse de Douai. Installé depuis 1968 dans l’ancien couvent des chartreux, le musée de Douai conserve une remarquable collection de peintures italiennes des XVI éme et XVIIème siècles et un ensemble prestigieux de tableaux flamands et hollandais. La peinture française y est également mise à l’honneur. Colette Nys-Mazure s’immisce dans cette scène centrale des Evangiles « fascinée par ce dialogue à deux visages et quatre mains ».Elle reconnait dans l’effroi de Saint Pierre qui a menti, qui a honte et a déçu, ses propres démons, remords qui marquent l’existence et ne cicatrisent jamais. Pourtant le pardon est au bout de ces mains qui implorent : Colette Nys –Mazure y voit le symbole rassurant d’où jaillira notre propre croissance spirituelle. Elle dédicacera ses ouvrages à l’issue de la conférence, dans l’ancienne chartreuse de Molsheim.
Entrée libre en fonction des places disponibles, plateau.
Réservation conseillée à l’O.T. de Molsheim au 08 88 38 11 61.
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