Ce dimanche au Salon du Livre de Paris

46994_salon-du-livre-paris-2011.jpgLa journée de demain étant réservée – la matinée du moins – aux professionnels, je ne vous offirai qu’une blonde pensée. Dernier jour, partant, de nos suggestions de rencontres en ce Salon festif et parisien du livre.

 

 

 

 

 

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Gisèle Halimi sera présente, ce jour, au Salonn pour y dédicacer son nouvel ouvrage dont je vous ferai une chronique très bientôt. En attendant, je vous en livre l’argument, extrait du communiqué de presse:

Gisèle Halimi a raconté le désamour de Fritna, sa mère, sa souffrance, son obstination farouche pour la forcer à l’aimer, et son échec. Elle a raconté sa frustration de ne pas avoir eu de fille, avec qui elle aurait voulu mettre à l’épreuve son engagement féministe.
La naissance de sa petite-fille, M., signifie pour l’avocate irrespectueuse une plénitude, un accomplissement en même temps qu’un éblouissement affectif : l’irruption d’« une vie de fille dans sa vie ». Pour la première fois, elle est le témoin direct de ce qui « fabrique un individu de sexe féminin ». Mais, au-delà de l’expérience féministe, et au-delà même de la raison, allant d’émerveillement en étonnement, éprouvant une nouvelle jeunesse, c’est une véritable passion que Gisèle Halimi nourrit pour celle qu’elle surnomme très vite « Tahfouna », la rose, l’irrésistible. La petite fille, qui lui déclare « Mamie, on est amoureuses ! », le lui rend au centuple. Jusqu’à la rupture brutale et complète qu’imposera « l’Autorité parentale », les parents de l’enfant. Dans un désespoir aggravé par l’incompréhension, il faut alors « apprendre l’art de ne plus être grand-mère ». Il faut continuer de vivre. Après trois années de séparation, la grand-mère et la petite-fille pourront se retrouver, transformées.
Dans ce livre qui fait écho à Fritna, Gisèle Halimi raconte sa « passion totalitaire » pour sa petite fille et confesse, à travers ce récit sans faux-semblants, une part d’elle-même qu’elle ne soupçonnait pas.

Histoire d’une passion, Gisèle Halimi, Plon, mars 2011, 196 pp, 18,5 €

A suivre…

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Vous ne manquerez pas de rencontrer Gilbert Sinoué qui dédicacera les épisodes d’Inch Allah  – Le Souffle du jasmin et Le cri des pierres qui ont fait l’objet de billets de ferveur en vitrine du blog.

 

Edwy Penel dédicacera son tout neuf  » Le Président de trop », au stand des éditions Don Quichotte, ouvrage par lequel il entend dénoncer  – c’est son droit – la faible intensité de la démocratie française actuelle.